mardi 30 avril 2019

Réunis pour l'Eternité...


Trois amis réunis pour l'Eternité...

Les pluriels du Chat !

Vous êtes fâchés avec la langue française ?
Les pluriels vous posent problème ?
Le Chat est là pour vous aider !


Pour l'anecdote, le Chat de Philippe Geluck et moi partageons une date importante : le 22 mars ! En effet, le Chat est né le 22 mars 1983 et moi le 22 mars 1970 ! (ceci est une info capitale, isn't it ?...)

mercredi 17 avril 2019

Le jour de la trahison

Mercredi Saint. Aujourd'hui, la liturgie nous propose la lecture de la trahison de Judas. L'occasion de rappeler que, jadis, on jeûnait deux fois par semaine, le mercredi et le vendredi. Le mercredi pour commémorer la trahison de Judas. Le vendredi pour commémorer la mort de Jésus Notre Seigneur.

Judas. J'avoue que ce personnage m'a toujours intrigué. Et je ne suis pas le seul. Longtemps, il fut juste classé parmi les traîtres absolus et devint même un nom commun (j'ai un judas à la porte de mon appartement !!). Depuis un siècle et quelque, on assiste sinon à une réhabilitation, en tout cas à une tentative de compréhension du geste de l'individu Judas et plus largement de compréhension de l'individu lui-même. De nombreux écrivains, historiens (et pseudo historiens...) mais aussi des prêtres et des évêques et des mystiques ont disserté longuement sur la figure de Judas. Trahison à but politique ? Amitié déçue ? Geste purement diabolique et comme uniquement inspiré par Satan ? La littérature et le cinéma se sont emparés de Judas. Je rappellerai juste la très belle pièce "Judas" de Marcel Pagnol, une pièce méconnue et qui ne fut montée qu'une fois. Une pièce intéressante où l'auteur, lui-même protestant, explique sa démarche.

Revenons au geste. La trahison. Judas a trahi Jésus. D'autres disciples n'ont pas été brillants lors des dernières heures de la vie de Jésus... Souvenons-nous du reniement de Pierre (dans l'Evangile de Matthieu, il disparait carrément du récit après son reniement, les trois autres évangélistes sont plus cléments avec le fondateur de l'Eglise). Les autres disciples s'échappent à leur tour. Seul le disciple bien-aimé (uniquement dans l'Evangile de Jean) sera présent au moment de la crucifixion. Les disciples ont tous fui. Restent les femmes, Marie, la mère de Jésus, Marie de Magdala (qui sera la première à voir Jésus ressuscité) et quelques autres fidèles. Au moment de la mise au tombeau, deux Pharisiens sympathisants de la cause de Jésus : Nicodème et Joseph d'Arimathie. Toujours pas de disciples... Les disciples se terrent. Certains rentrent chez eux : Jésus ressuscité les accompagnera, c'est le magnifique récit d'Emmaüs, très cher à mon coeur, lu le soir de Pâques.

Mais revenons à la trahison. Judas a trahi. Les autres disciples, je l'ai déjà dit, n'ont pas été "brillants" non plus... Et moi ? Et nous ? En ce Mercredi Saint, il est temps de nous interroger sur notre foi, sur notre rapport à Dieu et au prochain. Nous avons tous trahi un jour ou l'autre. Je ne vais pas ici faire la confession de mes trahisons. Ce n'est pas le sujet du jour. Mais je profiterai de cette journée avant le Triduum Pascal pour réfléchir, rentrer en moi, comme le fils prodigue qui s'interroge avant de revenir vers le Père.

Judas a trahi. Mais, surtout, Judas ne s'est pas repenti. Il n'a pas cru à la miséricorde infinie du Seigneur. Il a commis le péché contre l'Esprit. Après sa forfaiture, il est allé se pendre, désespéré, tellement sûr que Dieu ne lui pardonnerait jamais. Le suicide est rare dans la Bible, très rare chez les Hébreux. On peut citer le premier des rois, Saül, qui se suicide, et le prophète Elie qui a, à un moment, la tentation du suicide. Les Hébreux, comme les Grecs anciens, ne se suicident pas (Oedipe préfère se crever les yeux que de se suicider : il affronte son Destin). A la différence d'autres civilisations : les Romains ou les Japonais, pour citer les plus connus.

Qu'il est difficile de retourner vers le Père. De faire amende honorable. De demander pardon. Au Père. Aux autres. A soi.

Le chemin est long et sinueux qui mène au Seigneur. L'Eglise peut nous aider. La lecture de la Bible peut nous aider. Notre éducation (ma famille m'a beaucoup appris). Nos rencontres nous aident. Dans mon cas, de nombreuses rencontres, avec des prêtres, bien sûr, que ce soit quand j'étais adolescent ou depuis que j'ai repris "le chemin de l'Eglise" au début des Années 2000. Il y a aussi les échanges avec des collègues et amis... Ma principale dans le Cap Corse, un ami féru de l'Evangile de Jean, plusieurs collègues depuis que j'exerce au Lycée Mme de Staël (dont l'une qui me donna l'opportunité d'aller à la messe "pas seulement le dimanche"... je ne la remercierai jamais assez !) et bien sûr "mon ancien prof de grec" (qui a appris le grec pour pouvoir lire l'Evangile dans le texte !) qui m'inspire depuis tant d'années. Qu'elles et ils soient toutes et tous ici remercié(e)s.

Le chemin peut aussi passer par des oeuvres d'arts. Certains seront émus par des monuments, par des tableaux. D'autres par des musiques (sacrées ou non). D'autres encore par des romans ou des essais. Pour ma part, je le confesse, ce fut la redécouverte, au début des Années 2000, du film "La Dernière Tentation du Christ". Un film profondément incompris. Un film haï par les Chrétiens (et pas seulement les Catholiques). Un film méprisé par la critique. Un film qui ne trouva pas son public. Et, pourtant, son réalisateur, Martin Scorsese, lui-même profondément catholique, n'avait aucunement cherché à polémiquer. Beaucoup de gens qui ont critiqué ce film ne l'ont tout simplement pas vu, reprenant la citation d'un célèbre écrivain : "Pas besoin de visiter un bordel pour savoir ce qui s'y déroule". Certes. 

Le film raconte un Jésus très humain qui s'interroge sur sa divinité. Jusque là rien à redire. Vient le moment de la Crucifixion. Là, Jésus voit un ange (sous les traits d'une adorable jeune fille) venir lui retirer les clous et l'inviter à descendre de la croix... pour vivre sa vie... C'est l'ultime tentation mais on ne le sait pas encore. L'ange (prétendu ange) annonce à Jésus qu'il n'est pas au Paradis mais sur Terre, qu'il n'est pas Dieu et qu'il doit vivre sa vie d'homme. Jésus prend femme (le scandale... or tout bon croyant se marie et se multiplie... à part quelques exceptions) et a des enfants. Il vieillit et vit sa vie d'homme jusqu'au jour où il tombe nez à nez avec Paul, l'Apôtre. Le doute s'installe. S'est-il trompé de vie ? Ses disciples lui en veulent beaucoup d'avoir trahi, surtout Judas ! Et, là, on découvre que l'ange... c'est Satan, littéralement le tentateur... Et n'oublions pas qu'il est écrit, dans le récit des tentations de Jésus au Désert, que le tentateur reviendra le tenter... On peut critiquer la naïveté du propos. Mais s'interroger sur l'humanité de Jésus, c'est le coeur du Mystère de l'Incarnation, Dieu fait homme. Au dernier moment, au moment de mourir, Jésus s'interrogerait : et si ce n'était pas là ma mission ? A la fin du film, Jésus reprend son rôle (il n'y a donc là rien de blasphématoire). Il a résisté à la tentation. Pour l'anecdote, la musique, magnifique, est signée Peter Gabriel. Et mon cher David Bowie apparait en Ponce Pilate...

Voilà. Qu'est-ce qui nous fait un jour nous interroger, prendre ou reprendre le chemin qui mène à Jésus ?

La route est longue. La porte est étroite. Mais nous ne sommes pas seuls. Jamais.

Bon Triduum Pascal à toutes et tous !

Dieu vous bénisse.

mardi 16 avril 2019

Vite, allume la télé, il y a un drame !

J'avoue qu'hier soir, vers 20h, j'avais boycotté la télévision, comme je le fais beaucoup depuis quelques mois (pour le plus grand bien de mon équilibre intérieur !), voulant à tout prix éviter le "énième show Macron"... J'ai reçu un sms laconique m'enjoignant d'allumer la télé... Je suis docile, j'obéis. Et je vois ces flammes à Notre-Dame. Fâcheuse habitude, je m'attends à un nouvel attentat, soit des islamistes, soit d'une fraction radicalisée de l'ultra-gauche ou au contraire de l'extrême droite néo-païenne voire "un coup des gilets jaunes" (je n'ai pas oublié l'Arc de Triomphe...).

Eh non... Il s'agit d'un accident. D'un fait divers. Car, oui, c'est un fait divers. Une église brûle. Ce n'est ni la première ni la dernière. Au milieu des propos catastrophistes des pseudo-éditorialistes, hier soir, il y avait heureusement l'historien des religions Odon Vallet. Il rappela d'abord l'incendie de la cathédrale de Nantes en 1972, également pendant des travaux. Il rappela également que la plupart des églises de France, Notre-Dame comprise, ont plusieurs fois connu des incendies au cours des siècles, essentiellement à cause de la foudre (merci l'invention du paratonnerre !). Bref, c'est triste, c'est même effroyable. Mais ce n'est qu'un fait divers.

Rappelons qu'il n'y a pas eu mort d'hommes. Soulignons, au passage, la bravoure des quelque quatre cents pompiers face à une fournaise montant à certains endroits à plus de 1100 ° C. Chapeau, les gars !

Pour revenir à Notre-Dame-de-Paris en particulier... Rappelons qu'elle en a connu, la vieille dame, des "péripéties" à travers son histoire... Des destructions, des profanations lors de la Révolution Française (c'était ahurissant, hier, de voir Mélenchon, thuriféraire de la Terreur, pleurer devant les cendres de la cathédrale... confondant même ! le bouffeur de curé était redevenu l'ancien sénateur socialiste gentillet), le sacre de Napoléon l'usurpateur (l'homme qui avait trahi à la fois la Révolution, la République et la France pour mettre l'Europe à feu et à sang... visitez la chapelle de Waterloo... vous comprendrez !), et depuis quelques années, cette église était devenue le Disneyland parisien avec des queues monstres pour se faire prendre en selfie devant une statue ou une autre... Une fois ou deux, j'avais tenté d'entrer pour prier (vous savez, à l'origine, ce fut un lieu de culte). J'avais renoncé devant la foule.

La France est un pays riche (si ! si !). Notre-Dame sera reconstruite (on a bien reconstruit à l'identique la cathédrale de Reims détruite par les Allemands pendant le Premier Conflit Mondial). Et la procession des touristes pourra reprendre. 

Dans le même temps, les gouvernements français (toutes couleurs politiques confondues) continueront de diminuer la part du budget consacré à la sauvegarde du patrimoine (on n'est pas les seuls, les Italiens font pareil !). Les églises, les châteaux tomberont en ruine. On organisera des tombolas du patrimoine pour pallier la carence de l'Etat régalien. Sans commentaire.

Revenons à l'incendie de Notre Dame. J'ai été très vite stupéfait et écoeuré. Par les journalistes (notamment ceux de "droite") qui, dès le début de la soirée, ont comparé l'incendie de Notre-Dame au "drame que vit actuellement l'Eglise de France". Ensuite par les politiciens de tout bord, surfant sur la vague (légitime) d'émotion qui submerge le pays. Les larmes de Mélenchon, les tweets des uns et des autres (maintenant, on ne parle plus, on tweete), le discours opportuniste du président Macron...

Une église a brûlé hier. Ces dernières années, à travers le monde, notamment au Moyen-Orient mais aussi en Afrique, des églises (parfois millénaires) ont brûlé (avec parfois des fidèles à l'intérieur), dans l'indifférence générale voire dans la moquerie (à part quelques humanitaires, qui se soucie des Chrétiens d'Orient ou d'Afrique Noire ?). 

C'est la Semaine Sainte (pour les Chrétiens). Prions pour nos frères persécutés qui n'ont plus d'église où prier. Qui doivent se cacher pour prier. A Paris, il y a des dizaines d'églises (souvent très belles d'ailleurs) où les fidèles pourront se rassembler. 

C'est l'homme qui est au coeur du projet divin. Pas des édifices symboles de l'orgueil démesuré des nations, aussi beaux soient-ils.

Puisque tout le monde, notamment les athées anti-croyants, s'émeut aujourd'hui de la destruction d'un lieu de culte, c'est l'occasion de rappeler qu'en France (oui, en France) chaque année plus de mille églises sont profanées. Sans que cela n'émeuve personne. Pas plus tard que la semaine dernière, l'une des églises de Montluçon, où j'habite, a été profanée. Un entrefilet dans la presse régionale. Et c'est tout.

Bonne Semaine Sainte aux croyants de toutes religions, bonne semaine tout court aux agnostiques et cherchant Dieu, et bon courage aux athées.


Addendum : Le but de ce "billet d'humeur" n'est pas de choquer pour choquer ou même de me faire plaisir en faisant des phrases. C'est juste qu'il faut savoir prendre du recul. Il n'y a pas eu mort d'hommes. Des pierres se remontent. D'autres monuments français ont connu des drames semblables voire bien pire (Reims !) et s'en sont relevés. Par contre, la récupération politicienne actuelle est écoeurantissime. On est à deux doigts d'un impôt spécial pour financer la reconstruction. Et, bêtes et naïfs comme sont les Français, ils seraient prêts à le payer...

jeudi 4 avril 2019

Le "bel âge"...

Cette semaine, Le Parisien a publié une enquête qui n'a pas fini de "détonner". Le sujet ? Les seniors (traduisez en français normal : les Français(es) de cinquante ans et plus) qui "ne s'en sortent plus"...
Il fut un temps où avoir cinquante ans, c'était "le bel âge" : on était "encore en forme", pas loin de la retraite et on avait des sous de côté, la maison achetée et les enfants qui travaillaient...
Mais, ça, c'était avant... Une enquête qui montre l'évolution de notre société. Inexorablement. A titre personnel (et pourtant je suis célibataire sans enfant), depuis la rentrée, "je ne m'en sors plus", et je suis "catégorie A"... Un emprunt pour un appartement qui a perdu les trois quarts de sa valeur en dix ans, des taxes locales de plus en plus élevées, un impôt sur le revenu en hausse constante, des charges d'électricité et de gaz en augmentation. L'immeuble où j'habite qui doit chaque année faire des travaux pour "se mettre aux nouvelles normes"... Et je ne parle pas de l'essence. Je vis en ville donc je ne suis pas trop concerné. Mais j'avoue que je ne me balade plus en campagne comme j'aimais à le faire car le plein coûte cher (et en plus ça pollue !). Pour la première fois de ma vie, depuis deux mois, je suis à découvert.
Et puis, la bonne nouvelle, c'est l'âge de la retraite... J'ai calculé (et pourtant je suis fonctionnaire sans "accident de parcours" et j'ai commencé à 22 ans) que je ne partirai pas avant l'âge de 66 ans si je veux avoir mes points... Et le gouvernement n'a pas encore intégré les années de décote pour le financement de la dépendance...
Bref, avoir cinquante ans en 2019 en France... Ce n'est plus "le bel âge"...

mercredi 3 avril 2019

mardi 2 avril 2019

La leçon de "démocratie" des nationalistes corses

On peut faire des grèves pendant des mois. On n'obtient rien (souvenez vous du mouvement des grèves contre la réforme Fillon des retraites en 2003).
On peut aussi, si on est "gilet jaune", mettre les Champs Elysées à sac (ce qui n'est pas bien). On n'obtiendra rien non plus.
Par contre, une menace de boycott du "grand débat" par quelques élus locaux et deux "tentatives d'attentats" contre des trésoreries, et, là, même on si on est "Jupiter", on cède...
Une centaine de postes d'enseignants créés en lycée et à l'université et le corse obligatoire (!) jusqu'en terminale...
Ce n'est pas nouveau de céder devant les nationalistes... Lors de mon arrivée en Corse en octobre 1999 (dans un petit collège), il y avait eu un énorme attentat visant la fonction publique à Ajaccio, heureusement sans victime, mais avec de gros dégâts matériels. Avaient suivi des manifestations monstres (on était un an après l'assassinat du Préfet Erignac) pour protester contre la violence. N'empêche, le lendemain des manifestations, le Premier ministre de l'époque, Jospin, avait dit devant l'Assemblée nationale qu'il "comprenait" les demandes des nationalistes et avait rapidement cédé sur pas mal de points...
Triste leçon de démocratie.
J.-F. Pérès

Disparition du Père Jean Allary


Ce matin, en ouvrant mon compte FB (eh oui ! je continue d'y aller ! mais avec parcimonie et uniquement pour piocher des infos positives et/ou sérieuses, des blagues, et garder le contact avec ancien(ne)s élèves et collègues et amie(e)s lointain(e)s), je découvre cette info de RCF Allier :

[DISPARITION] – Nous venons d’apprendre avec une grande tristesse la disparition du père Jean Allary à l’âge de 93 ans ce samedi. Ordonné en 1952, il était resté sur les secteurs de Moulins et de Neuvy.
Devenu chanoine de la cathédrale en 2010, il avait pris sa retraite il y a seulement 6 ans seulement au presbytère de Neuvy.
Il a été fidèle de longues années à RCF en participant notamment aux haltes bibliques mais aussi aux commentaires de messes.
La messe de ses obsèques aura lieu ce samedi 6 avril, à 15h en la cathédrale Notre-Dame de Moulins.

Je me souviens avec beaucoup d'émotion du Père Allary. Il se trouve que c'était lui qui (co) dirigeait la chorale de la Paroisse Saint-Pierre de Moulins (aujourd'hui disparue et fusionnée dans une plus grande paroisse) (c'était "ma" paroisse !!) où ma mère a chanté pendant des années. Cette chorale avait une section percussions, dirigée par Marie-Odile Picandet. Ils appliquaient la "méthode Carl Orff" pour apprendre la musique aux enfants grâce aux instruments à percussion. Pour ma part, je jouais de la cymbale, du xylophone et du métallophone (je n'étais pas très doué mais on s'amusait bien !).
La chorale a eu beaucoup de succès au début des Années 1980. Nous nous sommes produits dans tout l'Allier et au-delà... Je me souviens notamment d'un concert triomphal (n'ayons pas peur des mots !) en l'église de Néris-les-Bains. Et je me souviens également d'une tournée (en train ! toute une aventure depuis Moulins !) à Romans-sur-Isère. 
C'était une aventure humaine et musicale remarquable. Et tout ça, nous le devions au Père Allary, un saint homme en même temps qu'un grand mélomane.
Je prie pour lui.
La messe de ses obsèques aura donc lieu samedi 6 avril à la cathédrale Notre-Dame de Moulins.