Le retour de la revanche du Doc

(photo prise le 5 février 2009)

(merci Martine !)

Tout d'abord, une photo clin d'oeil, prise devant ma caverne d'Ali Baba, mon fameux magasin fétiche, à savoir : Samarcande, petite boutique du quartier Saint-Pierre (un saint qui me suit depuis toujours, comme je l'ai déjà expliqué sur mon blog) à Montluçon, où je me réapprovisionne régulièrement en thés, cafés mais aussi à l'occasion confitures et autres pâtes à tartiner... Si vous passez dans le coin, allez-y ! Et le site internet est très bien fait : http://www.epices-samarcande.com/

Ensuite, quelques nouvelles du front, comme on dit en temps de guerre... Ah... la guerre... on n'y est pas encore (heureusement !) mais la crise est bel et bien installée et quoique veut nous faire croire la propagande officielle, on n'en est qu'au début du début. Quant à l'avenir écologique de notre planète à moyen voire à court terme... Stop ! Je n'irai pas sur le terrain du discours défaitiste, fataliste, alarmiste... Tiens, pour vous amuser... tapez ces trois mots sur internet... c'est assez amusant et... effrayant... De là à dire qu'il n'y a rien de plus politiquement correct que de dire que tout va de mal en pis... Si ! La chose la plus politiquement correcte qui puisse être est évidemment d'affirmer qu'on est... contre le politiquement correct...

Pour ma part, je me refuse à être déclinologue. En même temps, l'avenir ne m'enchante guère... pas plus que le passé... Le présent me convient... à peu près... Et ça tombe bien... car je vis ici et maintenant... Pourquoi "à peu près" ? A titre personnel, tout va bien, même très bien... Un bon boulot, des collègues et des élèves sympas, des relations apaisées avec ma soeur et mon père, une vie amoureuse épanouie depuis un peu plus d'un an, une bonne santé, des passions diverses et variées (j'y reviendrai plus loin...). Mais ce monde qui court vers la surconsommation de tout, le jetable érigé comme valeur refuge, la technologie alibi du flicage... Une désagréable impression de voir se réaliser ce que j'ai lu dans des nouvelles et des romans de S.F. (citons au hasard "1984" de Orwell, "Le Meilleur des Mondes de Aldous Huxley ou "Un Bonheur insoutenable d'Ira Levin... sans parler des "Monades urbaines" de Silverberg) ou dans des bandes dessinées (comme l'excellent "S.O.S. Bonheur" de Griffo et Van Hamme)... Les auteurs de science-fiction et d'anticipation nous préviennent depuis des décennies des dérives possibles du clonage, du tout technologique, de la pollution massive de la planète, etc... Mais, comme le dit le narrateur de "La Haine", l'être humain applique la méthode Coué en se répétant : "Jusque là, tout va bien"... Et puis je ne peux me satisfaire d'une société où des gens crèvent de faim tandis que d'autres suivent d'intenses régimes amaigrissants... "Il y a quelque chose de pourri sur la planète terre !" s'exclamerait Hamlet de nos jours... Au niveau national, un pays qui demande aux gens de travailler cinq ans de plus en moyenne après des études de plus en plus longues tout en licenciant massivement les salariés de plus de 50 ans, un marché du travail qui se rétrécit par l'automatisation, par l'hyper-spécialisation et la disparition de pans entiers de l'économie (essentiellement la fin de l'industrie dans le monde occidental... on ne fabrique plus rien, on achète aux autres...), c'est un sytème qui ne peut tenir sur la durée... Une économie construite sur du vide, ça finit par se voir ! Avant de relancer la consommation il faudrait peut-être recréer la production... Notre époque me donne l'impression d'une fuite en avant, dans tous les domaines... Outre le culte de l'image, c'est cette absence de réflexion sur ce que l'on fait sur cette petite planète, pourquoi on est là, qu'est-ce qu'on va laisser à nos descendants, cette absence de toute question pertinente, accompagnée d'un déni total de la culture et de l'intelligence (il faut cultiver la bêtise, à la télé, sur internet, dans les journaux, dans les discours politiques : plus vous serez bêtes plus vous serez (ré) élus !?)... Tout celà me hérisse... En même temps, de tout temps, on s'est plaint de son époque. Je me souviens de Socrate se plaignant du niveau qui baissait et de Platon expliquant qu'un pays où les jeunes ne respectaient plus leurs aînés ni leurs enseignements était mûr pour la dictature...

Marrant... Je voulais raconter mes dernières semaines et me voilà lancé dans les discours, parti à "refaire le monde" (j'adore cette expression !)... En même temps, le jour où plus rien ne me révoltera, faudra m'abattre, sans aucune hésitation. Et puis, la lecture de romans de science-fiction, y compris de la saga Star Wars, m'incite plus que jamais à réfléchir sur la société qui m'entoure. Les romans de S.F., mon père aime souvent à le répéter, sont les contes philosophiques d'aujourd'hui. Dans la saga "Star Wars", on voit une république étouffée par la bureaucratie, une démocratie otage de firmes économico-militaro-commerciales qui possèdent le vrai pouvoir et finissent par le prendre, une union des planètes incapable de prévenir le moindre conflit entre ses membres et s'enlisant dans les "résolutions" qui ne seront jamais respectées... On voit comment, suite à des subtiles intrigues de couloir, un dictateur accède au pouvoir le plus légalement du monde et sous les applaudissements... George Lucas disait d'ailleurs s'être inspiré des nombreux exemples que nous offre l'Histoire du monde... On découvre Coruscant, la capitale de l'Empire, une ville tentaculaire, l'aberration ultime des urbanistes...

La saga Star Wars donc... J'ai dévoré pendant mes congés de février "Dark Lord : L'Ascension de Dark Vador", jusqu'à maintenant le meilleur roman issu de l'univers Star Wars que j'ai pu lire, roman qui se passe juste après "La Revanche des Sith", quand Anakin Skywalker n'est pas encore complètement Dark Vador, qu'il pourchasse les Jedi à travers la galaxie tout en apprivoisant son nouveau corps composé pour moitié d'électronique et de ferraille et qu'il s'impose progressivement au sein de l'Empire naissant sous les ordres d'un Dark Sidious/Palpatine machiavélique à souhait...

J'ai également (re) découvert la "prélogie", les épisodes I à III (je précise pour les non initié(e)s !!), à la suite, et en V.O. Une expérience géniale ! J'avais vu, dans les Années 1980, les épisodes IV à VI d'affilée (donc la trilogie originale pour ne pas dire originelle), dans un cinéma de Nice, avec ma grand-mère... C'est un moment formidable...

Bref, je redécouvre en moi cette passion intacte pour la saga Star Wars, et plus généralement pour l'univers de George Lucas... donc Star Wars mais aussi Indiana Jones... Ce qui appelle bien sûr également le compositeur fabuleux John Williams et mon réalisateur fétiche, Steven Spielberg... S.L.W. pour "Spielberg Lucas Williams", la petite revue que je rédigeais quand j'étais ado... Car je me lance aussi dans la lecture des romans Indiana Jones et je réécoute les B.O. de Williams, m'apercevant que je connais tous ces airs par coeur, même si je ne les avais pas écoutés depuis des années...

Bref, la Force est de retour ! C'est bon de s'enthousiasmer de nouveau ! S'apercevoir qu'on a des passions intactes... pour S.L.W. donc mais plus largement pour le cinéma, pour la musique de film, pour les histoires policières, de science-fiction, d'espionnage, pour l'Histoire avec un grand H (plus mon époque m'insupporte plus je me passionne pour l'Histoire !), pour le théâtre...

Je conseille aux fans de Star Wars le site Star Wars Génération 1 : http://www.swg1.net/

Vous y trouverez tout plein de renseignements sur les personnages, les planètes, les vaisseaux ainsi que les romans et autres bandes dessinées qui traitent de l'univers Star Wars... Bref, une vraie mine ! Je sais qu'il existe plein d'autres sites dédiés à la saga mais je me permets de (re) citer celui-ci car il est facile d'accès, pratique et assez complet...

Et puis, les 2 et 3 mai, c'est l'annuelle convention Star Wars de Cusset... Vous pouvez consulter le blog consacré à l'événement... http://leblog.genstarwars.com/

Mais ma vie ne tourne pas uniquement autour de Star Wars... Ouf ! Pendant les vacances, grâce à une collègue, j'ai découvert la série "Damages", un formidable thriller judiciaire, une histoire palpitante, un rythme effréné. Les acteurs sont tous excellents, à commencer par Glenn Close en avocate d'affaires prête à tout (vraiment tout... dans Star Wars, elle serait du Côté Obscur !!) pour gagner un procès... Un grand moment de télé comme savent le faire les Américains et comme nous sommes plutôt incapables d'y arriver en France...

Et puis, bien sûr, pendant mes congés de février, je me suis rendu dans le Sud de la Bretagne en compagnie de ma douce et tendre, l'occasion de faire le plein d'air iodé mais également de spécialités locales, crème de caramel au beurre salé et boîtes de sardines de La Belle Iloise...

Voilà. C'était les dernières nouvelles du front... A l'Ouest rien de nouveau... Ici, dans notre petit Bourbonnais, tout va bien... "Jusque là, tout va bien"... Et puis, comme je le répète (à qui veut l'entendre ?!) depuis le mois d'octobre 2008 et le déclenchement de la crise boursière, faut profiter de ce que nous offre aujourd'hui car "on sait pas de quoi demain sera fait"... C'est dans les dictons populaires les plus éculés qu'on trouve les plus vastes sujets de réflexion...

Portez vous bien et... Que la Force soit avec vous !!

Libérez le Doc !!!

(photo prise à Néris-Les-Bains le jeudi 5 février 2009)

Libérez le Doc !!!

Libérez le Doc du Côté Obscur de la Force qui l'oblige à dévorer des romans de l'univers Star Wars mais également des romans contant les aventures d'Indiana Jones. George Lucas, sors de ce corps ! En même temps, je n'en suis pas au stade de collègues (et amis !!) que je ne nommerai pas et qui sont en train de peaufiner leurs costumes pour la prochaine convention Star Wars de Cusset...

Libérez le Doc de l'influences des séries télé policières. A cause de l'influence de ma douce et tendre, je regarde plein de programmes ni doux ni tendres... Je dévore particulièrement "New York Unité spéciale", "New York Section criminelle", les trois variations des "Experts" (avec forcément une préférence pour "Manhattan" et le grand Gary Sinise, acteur remarquable, notamment dans "Des Souris et des Hommes"), "FBI Portés disparus", "Cold Case", "N.C.I.S.", "Esprits criminels"... Ah ! Elle est belle, la dépendance télévisuelle pour des séries américaines. En même temps, force est de reconnaître qu'elles sont d'excellente facture. Par contre, la façon dont ces séries (et j'imagine les autres...) sont diffusées en France relève du scandale et du surréalisme le plus abouti...

Libérez le Doc du "Monde selon Nicolas". Le monde des "yfoque", "yaka", "cépamafôte"... Le monde traverse une crise... mondiale... oui, on sait... Et les responsables, c'est les méchants fonctionnaires, "la mauvaise graisse", et plus particulièrement le fameux "mammouth" de l'Education nationale, tous ces enseignants "nantis", ces privilégiés obsédés par le pédagogisme qui leur a été administré à haute dose dans les IUFM, ces lieux de débauche et de propagation généralisée de l'illettrisme et du gauchisme flamboyant. Les profs ont précipité le monde dans l'abîme de leur incommensurable incompétence à préparer les jeunes d'aujourd'hui à être les chômeurs de demain.

Libérez le Doc des "nouvelles technologies" qui sont d'ailleurs de moins en moins nouvelles... Libérez moi des TIC, les fameuses technologies de l'information et de la communication, un prétexte pour tous nous mettre en réseau, nous ficher, nous fliquer... même que c'est nous qui remplissons nous-même les cases en nous inscrivant sur des sites participatifs, au départ inodores, comme Facebook ou Copains d'avant, pour nous retrouver avec trois cents amis que nous ne connaissons pas et qui savent notre C.V. mieux que nous mêmes... Et le plus paradoxal, c'est que j'écris ça sur un blog et que je l'envoie via un mail. Vive la schizophrénie paranoïaque post-moderne des accros de la Toile !!

Libérez le Doc de ses nouvelles dépendances culinaires... Un goût particulièrement marqué pour tout ce qui tourne autour du chocolat (noir, au lait, blanc, praliné et consorts !) et des pâtes à tartiner... de la crème de caramel au beurre salé à la crème au chocolat noir en passant par les classiques crèmes chocolat au lait et noisettes sans oublier la perverse confiture de lait... Hier, j'ai achevé ma quête et ai enfin découvert de la crème à tartiner au chocolat blanc... Un vieux rêve de gosse. Autre dépendance, celle au thé, aux infusions et aussi au café... Le thé sous toutes ses latitudes (et ses altitudes... notamment pour les thés de l'Himalaya !), un plaisir chaque jour renouvelé ! Et puis il y a ma passion (oui ! oui ! c'est le mot !) pour les sardines et mon dealer officiel : La Belle Iloise.

Libérez le Doc de ses vieux démons. Là, je dirai que c'est plutôt en bonne voie... Je me mets bien parfois en colère mais je ne pense pas être le seul. J'ai des "coups de blues" mais c'est un défaut assez répandu, notamment chez les trentenaires (bientôt quarantenaires) bedonnants, cette fameuse génération désenchantée, élevée à coups de chocs pétroliers, de SIDA et particulièrement adepte du nombrilisme à défaut de rêver de "changer le monde" comme ses illustres aînés qui ont "fait 1968" avant que de voter pour Sarko le Grand. Je ne bois plus d'alcool depuis un bon moment maintenant et ça ne me manque même pas... D'ailleurs, il y a toujours un silence gêné quand je dis "non merci" pour un apéro ou un verre de vin, je vois bien que je ne suis pas tout à fait "normal" (au sens : "dans la norme") de ce côté-là. Ah bon ?! Tu ne bois pas d'alcool ? Tu es malade ? C'est pour des raisons religieuses ? Ce qui est assez amusant, "quand on creuse un peu", c'est que nombre d'amis et de relations me disent souvent : mais t'étais pas alcoolique, d'ailleurs tu buvais pas plus que moi voire moins... Suit généralement un blanc... L'un des principaux problèmes de l'alcool (comme de tous les anxyolitiques "naturels" qui se boivent ou qui se fument...), c'est que "tant que ça va bien", tout va bien. Et puis le vieil adage "je peux m'arrêter quand je veux"... En même temps, effectivement, boire des canons et festoyer gaiement, c'est très sain et j'aime toujours autant à me retrouver dans ces atmosphères chaleureuses... Par contre, pour moi, ce sera un jus de fruits ou de l'eau s'il vous plait...

Ah... Les vieux démons et les noms qu'on donne à ses défauts et à ses traits de caractère... Je change souvent d'humeur, suis-je pour autant maniaco-dépressif voire bipolaire (quel mot horrible, on dirait qu'on parle de piles électriques ?!) ? J'ai des difficultés dans mes relations avec ma famille (comme à peu près tout le monde...). Suis-je pour autant névrosé ? Il m'arrive de lire des livres, de regarder des séries T.V. ou des films et même d'écouter de la musique pour me détendre et me changer les idées... Suis-je un schizophrène qui veut nier la réalité ? Le "travail de deuil" n'est pas tous les jours facile et j'ai eu des passages à vide, des idées macabres, morbides voire carrément des cauchemars... Suis-je en train de perdre contact avec le réel et de me réfugier dans la folie post-traumatique ? Je manque totalement d'ambition professionnelle et je n'ai pas de projets à moyen et encore moins long terme, je ne suis pas propriétaire et ne songe pas à le devenir, j'ai pas un sou de côté (à part une vague assurance-vie...) : est-ce là un refus de devenir adulte, de s'impliquer dans la vie et un quelconque résidu du syndrôme de Peter Pan ? ou, tout simplement, ce que l'on appelait autrefois un état mélancolique ? J'aime bien que les choses soient rangées à leur place, j'ai une bonne mémoire visuelle, je sais rapidement retrouver un document... Est-ce parce que je suis documentaliste ou parce que j'aurais tendance à être psycho-rigide ? D'ailleurs, à ce propos, je déteste la poussière et dès que j'aurai des sous de côté je m'achèterai un aspirateur... Pour aspirer le vide qui m'envahit ?! Je fais du théâtre dans une troupe amateur depuis plusieurs années : n'est-ce pas le signe d'un égo démesuré et d'une propension à l'exhibitionnisme ?

Ce qu'il y a d'amusant, quand on a un peu fréquenté l'univers de la psychiatrie, c'est que l'on peut mettre un nom à tout et s'apercevoir avec effarement qu'on est entouré de grands malades... La frontière entre un comportement sain et un comportement déviant est ténue. D'ailleurs, ce qui est déviant à un moment ne l'est plus à un autre. Ce qui est dans la norme à une époque donnée ne l'est plus à une autre époque. Il y a encore vingt ans, l'Organisation mondiale de la Santé classait l'homosexualité parmi les troubles mentaux. Les personnes obsédées par leur carrière et qui y sacrifient famille et santé peuvent tour à tour être encensées, montrées comme exemples et ensuite décriées parce qu'obsédées par du matériel volatile : la frontière est mince entre l'arrivisme forcené et le dynamisme entreprenarial ! La réaction quotidienne des marchés boursiers, des gens qui ont fait des études et tout, montre des personnes profondément déséquilibrées, réagissant de façon émotionnelle, empirique et disproportionnée à tout ce qui leur arrive. Et ce jusqu'aux grands malades qui nous gouvernent... Le président français obsédé par le paraître, l'ex-président américain représenté comme un type à l'intelligence limitée, ce qui ne l'a pas empêché d'être élu deux fois, l'ex-président russe devenu premier ministre que je n'aimerais pas croiser dans les couloirs d'un hôpital... Et puis, après tout, qu'est-ce qu'un homme (ou une femme politique) sinon quelqu'un qui pense qu'il peut changer le monde ?! Que des dingues, je vous dis ! Et les gens qui se mettent en couple parce qu'ils ont peur d'être seuls et d'afrronter le monde en solo ? Et les gens qui préfèrent être seuls parce qu'ils ont peur de s'engager et d'être déçus ? Et les gens qui voyagent pour voir si ailleurs c'est pas mieux ? Signe de profonde instabilité ? Et ceux qui préfèrent rester chez eux ? Signe de paresse intellectuelle ? Un dictionnaire de psychiatrie, c'est comme le Larousse médical : vous le feuilletez quelques minutes et vous avez toutes les maladies... Alors si vous commencez à traîner du côté des sites internet et autres forums, là, c'est le supermarché des névroses et des comportements déviants...

Libérez le Doc des docs !...

Libérez le Doc de lui-même !

Et, comme disent rituellement les Guignols de l'Info, à la fin de la rediffusion hebdomadaire du dimanche (un moment sacré que j'aimais partager avec mes parents et ma soeur... là, on s'est toujours retrouvés pour rire ensemble !!... et, maintenant, je partage ce moment avec ma bien-aimée !), comme disent donc les Guignols à propos de la télé : vous pouvez éteindre votre ordinateur et reprendre une activité normale. N'oubliez pas aussi de couper votre portable... Respirez : sans les ondes, on redécouvre le monde...