Lors de notre aller-retour à L'Escarène, début décembre, pour accompagner ma mère vers sa dernière demeure, j'ai retrouvé la maison familiale, "le 29 et le 31" (les intimes comprendront), que je n'avais pas vue depuis l'été 2002... Je crois d'ailleurs que je n'y avais pas dormi depuis 1993... Les souvenirs se sont évidemment bousculés... J'ai pu admirer tous les travaux réalisés notamment par mon père et mon beau-frère qui ont transposé à l'étage du 31 le salon de ma grand-mère à Nice... Elle vivait au milieu de ses souvenirs d'Indochine où elle avait vécu quelques années et tous les livres reliés, témoins de l'époque où elle fut représentante en livres... Ainsi, à L'Escarène, par la magie de ces meubles, subsiste le souvenir de ma grand-mère et un peu de cette Indochine qu'elle aimait tant...
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