Hier, 4 octobre, c’était la Saint François, mon « saint patron »… Pour la petite histoire, à part mon cousin (et filleul) Jean-Marc et ma marraine Bernadette, personne de ma famille ne s’en est souvenu. Mais qu’importe. L’essentiel est ailleurs. Pour une fois, je vais déroger à la règle que je m’étais fixé en créant ce blog. Je vais insérer in extenso un texte qui n’est pas de moi dans ce journal de bord électronique, à savoir la fameuse « Prière de Saint François », une prière que j’apprécie particulièrement (au même rang que le Psaume 23, « Le Seigneur est mon Berger »). Que vous soyez croyant, agnostique ou athée, je suis sûr que la beauté de ce texte ne peut vous laisser indifférent…
Seigneur, fais de moi un instrument de ta paix.
Là où est la haine, que je mette l’amour.
Là où est l’offense, que je mette le pardon.
Là où est la discorde, que je mette l’union.
Là où est l’erreur, que je mette la vérité.
Là où est le doute, que je mette la foi.
Là où est le désespoir, que je mette l’espérance.
Là où sont les ténèbres, que je mette la lumière.
Là où est la tristesse, que je mette la joie.
O Seigneur, que je ne m’efforce pas tant
D’être consolé que de consoler,
D’être compris que de comprendre,
D’être aimé que d’aimer.
Car c’est en donnant que l’on reçoit,
C’est en s’oubliant soi-même que l’on se retrouve soi-même,
C’est en pardonnant que l’on obtient le pardon,
C’est en mourant que l’on ressuscite à la vie éternelle.
Seigneur, fais de moi un instrument de ta paix.
Là où est la haine, que je mette l’amour.
Là où est l’offense, que je mette le pardon.
Là où est la discorde, que je mette l’union.
Là où est l’erreur, que je mette la vérité.
Là où est le doute, que je mette la foi.
Là où est le désespoir, que je mette l’espérance.
Là où sont les ténèbres, que je mette la lumière.
Là où est la tristesse, que je mette la joie.
O Seigneur, que je ne m’efforce pas tant
D’être consolé que de consoler,
D’être compris que de comprendre,
D’être aimé que d’aimer.
Car c’est en donnant que l’on reçoit,
C’est en s’oubliant soi-même que l’on se retrouve soi-même,
C’est en pardonnant que l’on obtient le pardon,
C’est en mourant que l’on ressuscite à la vie éternelle.
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