mardi 11 novembre 2008

Acte II : quand la machine infernale se met en place...

Mon ami, mon professeur de français et mentor, Gérard, me l'a plusieurs fois fait remarquer : chez Feydeau, l'essentiel, c'est l'Acte II, c'est là que la machinerie bien huilée au premier acte, celui de l'exposition, c'est là que tout s'enraye, quand quiproquos et malentendus s'accumulent, qui seront finalement résolus au troisième acte. "Chat en Poche" ne déroge pas à la règle. Le deuxième acte y est totalement jubilatoire. Je pense que le public a apprécié, au jugé des nombreux rires et applaudissements. En tout cas, nous autres, les acteurs, on a pris beaucoup de plaisir à jouer cette pièce...
Tiburce : Oh ! Que c'est bête la vie ! On admet qu'un amant aime sa maîtresse, et on n'admet pas qu'un domestique aime sa maîtresse... Tiburce : Je sais que tu défais chaque fois mes points... mais ça m'est égal, je recommence et ça me fait du bien...
Lanoix : Je lui apporte ce bouquet... à ma fiancée... Je serais si heureux de la voir...


"Colimaçon borgne, montre -moi tes cornes !"
"Coucou ! Ah ! Le voilà !"
"A moi l'énergie des instincts puissants !"

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