mercredi 5 juillet 2023

Femme souvent varie...

 Le texte qui suit... Une réponse à ma collègue et amie Virginie... suite à un post it (!) déposé par elle sur mon écran d'ordinateur... Comme un clin d'oeil... Son post it : "Femme souvent varie, bien fol qui s'y fie".

Ma réponse, ce matin... un peu plus longue et plus "sérieuse" et plus "dramatique"... A la lecture de ma réponse, Virginie me dit : Tu devrais écrire. Je sais, que je lui réponds. Tout le monde me le dit. Mais je suis feignant. Et je ne me vois pas partir dans un roman, un truc comme ça. Et pourquoi pas des chroniques ? Pourquoi pas...

Alors, en attentant la suite du retour de la revanche de l'inspiration, ma réponse à Virginie à propos d'une certaine Stéphanie qui m'a brisé le coeur en 2007...

Ah... Le cruel souvenir... Eté 2007. Je rencontre Stéphanie. 21 jours d'une passion ardente. Je n'avais jamais connu ça avant. Je n'ai plus jamais connu ça. 21 jours tout le temps ensemble. Si le bonheur et le paradis existent, je les avais visités cet été là ! Puis, comme ça, sans explication, après avoir décidé de "faire un break" (!), elle me quitte. Après, ben, ce fut le malheur et l'enfer, que je découvris cet été là. Et ça dure encore (un peu), de longues années après.

Pourquoi cette confidence ? Stéphanie répétait et répétait et répétait : "Femme souvent varie, fol est qui s'y fie"... Je l'ai recroisée une fois, quelques semaines plus tard. Elle a couru vers moi en larmes : "Jean-François, je t'aimais. Je t'aimais vraiment". Et elle est repartie. Heureusement, j'étais accompagné. Sinon, j'aurais cru que c'était une apparition. La fille qui était avec moi (en tout bien tout honneur) m'a dit : Mais qu'est-ce qu'elle a, celle-là ? C'est elle, la fameuse ?

C'est grâce à Stéphanie que j'ai découvert l'univers des antidépresseurs, des anxiolitiques, et toutes ces saloperies. Que j'ai réussi à arrêter... en juin 2023... Son pseudo sur le net était "Fluoxétine", le générique du "prozac"... Moi, je n'en savais rien... C'est quand mon médecin traitant d'alors m'a prescrit ce médicament quelques jours après la rupture... J'ai failli m'évanouir... Il m'a alors fait la leçon : on ne sort jamais avec une fille dont le pseudo est le nom d'un antidépresseur ! Certes.

Quel bonheur !

Femme souvent varie...

Bises.

J.-F.

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